Histoire de Lui... "Investigation à mal tournée"

A partir de maintenant, je rentre dans le personnage. Je suis Frédéric Astier, je rentre en prison de haute sécurité de Gerbier, site expérimentale de réadaptions. Officiellement 2 ans de détention en catégorie 5, la plus restrictive.

Accompagné par mon avocat complice, j'avance lentement vers la salle des admissions de la prison chevilles et poignets menottés. Dans la première salle, mon avocat s'adresse à moi « Je vous laisse ici M Astier, nous nous revoyons dans 5 jours comme prévu, bonne chance ».Il s'éloigne avec mon dossier vers le bureau du directeur.

Les deux gardiens me saisissent pas les bras et me font asseoir sur une chaise en face d'un écran. Pendant que le premier détache les menottes, l'autre me sangle les poignets et chevilles aux montants. « Tu vas voir une vidéo sur les règles de l'établissement, je te conseil d'être bien attentif, tu verras que la tolérance n'existe pas ici et que les punitions sont exemplaires ! » Sa manière d’insister sur « punitions » et son sourire en coin me laisse penser que ce type prend plaisir dans son travail, du moins avec la partie qui m'intéresse de documenter.

Ils lancent la vidéo et me laisse seul devant l'écran.

A l'étage supérieur...

« Monsieur le Directeur, Bonjour. Maître Guejet pour l'admission de Frédéric Astier

-Bonjour Maitre, asseyez vous et expliquez moi pourquoi je n'ai aucun dossier sur votre client à par l'ordre d'admission ?

-Effectivement, je vous ai apporté le dossier papier , il y a visiblement un problème de réseau chez le greffier, la transition à été bloquée...

- Visiblement irrité – Vous croyez qu'on a le temps de ressaisir tous les dossiers manuellement ! Je vous préviens, si à la fin de la période probatoire, je n'ai rien de validé par le greffe, je vous le rend, ce ne sera plus de ma responsabilité ! - l'avocat acquiesce – Faites voir ce dossier... Cat 5, 2 ans, bilan Psy : Pervers Niveau A, Manipulateur B, Simulateur A.... un bon client...

2 ans en Catégorie 5, ça doit pas être un tendre -souriant- on vous n' être vraiment pas doué comme avocat !

-C 'est vraiment un cas, désespéré disent certain, on ne voit aucune piste classique pour son évolution... à part votre établissement apparemment.

-Donnez moi 6 mois, il sera doux comme un agneau !

-Je vous le souhaite, visiblement vos méthodes...innovantes ne sont pas forcement du goût de tous mais....

-Elles sont efficaces, c'est ce qu'on me demande. La fin justifie les moyens point final ! -tendant la mains à l'avocat- Maître nous nous revoyons donc dans 5 jours, avec un dossier validée n'est ce pas et votre client déjà changé.

-Ça m'étonnerais fort..., bonne journée monsieur le directeur »

Après une demi heure de vidéo de « bienvenue », je ne suis pas surpris par le concept de l'établissement. Tolérance zéro, un enfermement constant, humiliation, des contraintes physiques omniprésente... Certain diront que certaines pratiques expérimentales s'apparentent à de la torture, je suis là pour prouver qu'ils vont beaucoup plus loin que cette présentation officielle. J'ai 5 jours pour ça, après ils se rendront compte de ma supercherie et ils seront piégés !

Les techniques d'immobilisation et de restriction des sens sont autorisées mais elle sont très encadrées en terme de durée en particulier. Il semblerait que l'administration de Gerbier ne soit pas très regardante à ce sujet.

Cet ancien adjoint au responsable de la catégorie 5 était le seul jusqu'à présent à s'être exprimer à ce sujet. Il ne voulait le faire publiquement avant de s'appuyer sur d'autres témoignages. Or aucun pensionnaire n'était encore sortie de CAT5 ! J'avais 5 jours pour accumuler des preuves, il fallait que je les poussent une peu !

Le Directeur s'adressant au stagiaire en sortant de son bureau...

« Remplissez moi ce dossier dans BD CELL, vous me prévenez pour la validation vous aurez besoin de mon code »

C 'est en cochant par inadvertance la case -ELIGIBLE AU PROTOCOLE 5+- que ce fonctionnaire inexpérimenté scellait mon destin. Le directeur ne prendra pas le temps de relire...

Le directeur entre dans la salle de visionnage.

« M Astier, j' espère que vous avez bien compris les règles régissant notre établissement. Si vous les respectez à la lettre, votre séjour n'en sera que plus agréable. Vous allez signer maintenant notre charte, nous vous feront visiter vos quartiers et vous laisseront vous installer »

Je lui réponds dédaigneux « Je ne signe rien du tout, tu m'amène dans mes quartiers comme tu dis et tu me fous la paix »

Le directeur impassible « Vous n'avez apparemment pas bien assimilé les règles. Le seul droit que vous avez ici est d’obéir sans commentaire et votre devoir de me répondre oui Monsieur le directeur. C 'est assez simple mais si vous avez des soucis de compréhension, je vous assure que nous prendrons le temps de vos les enseigner. Dernière chose, je ne répète jamais deux fois »

S'adressant au gardien « Messieurs, aidez M Astier à se détendre avec du pentadox, je crains qu'il ne soit peu coopératif pour la prochaine étapes »

Une gardien s'approche alors et m'enfonce rapidement une aiguille dans le bars. Ma tête se met à tourner, ma vision se brouille et mes forces s'évaporent soudain.

« Pas d'inquietude M Astier, vous allez rester avec nous, c'est juste en relaxant très temporaire, on va vous soutenir pour vous habiller. »

Ils me détache alors, m'enlève mes vêtements et me traîne jusqu'à des toilettes ou ils m’assoient, une nouvelle injection me font éjecter mes selles et mes urines. Ils entreprennent ensuite de m'enfiler une combinaison de tissu élastique noir recouvrant d'une pièce tout mon corps. Ils me fixèrent en suite des bracelets aux poignets, au dessus des coudes, aux cuisses et aux chevilles. Une large collier se verrouilla autours de mon cou en émettant un -bip-bip-

« Bon M Astier, toujours pas diposé à signer je présume ?

-tentant de répondre : -jjj sinnnn rrr

-Vous me le mettez en Capi, sup anta, inf CC et muselière le temps qu'il se réveille, je repasserais plus tard»

A ce réquisitoire incompréhensible, les geoliers m’emmenèrent sur une chaise roulante en direction d'une cellule capitonnée au bout d'un couloir. Il me jetèrent sans ménagement sur le sol mou. Alors que je sortais doucement de ma torpeur, ils s'entreprirent de me fixer les bras dans le dos, coudes et poignets joints, puis m'imposèrent de m'agenouiller les jambes repliées en sécurisant les bracelets entre eux. Je senti pour la première fois cette muselière se refermer autours et au dessus de ma tête. Ils terminèrent reliant une boucle du collier au mur et une chaîne de mes poignet au sol.

Ils sortirent rapidement de la cellule en verrouillant la porte.

Ce morceau de cuir recouvrait la bouche et les joues jusqu'aux oreilles, plaqué ainsi, je ne pouvais émettre aucuns sons et en percevoir peu.

A SUIVRE...

Mise en bouche :

La niche d'entrainement:

Cage métallique Dimensions 200x100 h:150

La distribution de nourriture/eau est assurée par une bite buccale. Principe de fonctionnement :

Pour déclencher la distribution, une séries d'étapes est a réalisée. Un signal sonore indique le début de la procédure. Si la procédure n'est pas réalisée entièrement, un placement en cage de restriction est préconisé. Les distributions sont a prévoir toutes les 2 heures environs en période journée, toutes les 4 heures de nuits

Après le signal sonore, le sujet à 30 secondes pour réaliser l'étape 1

1. Une bite (initiation L :6inch, diam : 1,8inch) anale auto-lubrifiée fixée au sol doit être chevauchée, l' insertion totale est repérer par contact et déclenche la descente d'une barre au dessus des cuisses du sujet le maintenant en position.

2. La Bite bucale est alors approchée et mise en bouche. Les mouvements de va et vient automatique doivent être accompagnés par des mouvements volontaires du sujet (mouvements entièrement automatique envisageable). Si ceux-ci ne sont pas réalisés, des insertions profondes automatiques sont réalisée avec des temps de blocage en position insérée de plus en plus important. Si la procédure n'est toujours pas réalisée, un placement en cage de restriction est préconisé. Des gonflements et des mouvements de va et viens sont réalisée par la bite anale.

3. Le nourrissage se déclenche après une temps variable sous forme d’éjaculation de préférence avec du vrai sperme ou par défaut un liquide de texture similaire. L'éjaculation de la bite anale est déclenchée de manière concomitante de même que son gonflement significatif

4. Après une minute, le sujet est libéré

OPTION :

Si le sujet est bâillonné initialement (préconisé),un automatique retirera le baillon en fin de phase 2 et le repositionnera avant la libération

Le sujet peut porter un plug anal initialement. Dans ce cas, en étape 1, il viendra se positionner au dessus du système qui se connectera au plug, le faisant grandir. Les étapes classiques se déroule par la suite

D'autres contraintes type, flagelation, pinces à seins, electro... peuvent s’envisager dans la progression d' apprentissage. La taille des bites et leurs amplitudes de mouvements sont à faire évoluer progressivement également